Netflix Inc.

10/06/2024 | Press release | Distributed by Public on 10/07/2024 02:41

“L’âge d’or du divertissement est devant nous!” - Pauline Dauvin VP des contenus pour Netflix France

Vous êtes arrivée il y a moins d'un an au sein de Netflix France en tant que vice-présidente des contenus. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre rôle et vos ambitions ?

Mon rôle est de développer une vision globale pour l'ensemble des films et séries, et documentaires produits par Netflix ainsi que pour les acquisitions. Mon objectif est de créer une complémentarité de genres au sein des programmes, afin de constituer un portefeuille aussi riche et diversifié que possible. Cette diversité est essentielle pour fidéliser nos abonnés.

Quelles seront vos priorités d'un point de vue créatif?

Je m'inscris dans une stratégie d'évolution et, surtout, d'expansion, visant à offrir une diversité encore plus grande en termes de genres. Cette variété est primordiale car en moyenne, un abonné consomme six genres différents par mois. Avec le succès de films comme Aka ou Balle Perdue, on a pu mesurer l'impact de l'action en France, donc on va continuer à en produire. Les thrillers font également partie de nos genres privilégiés. Sans oublier la comédie : nous lançons le 23 octobre le film Loups-Garous.La romance, le mélo, des séries comme One Day, fonctionnent très bien en France mais nous n'en produisons peut-être pas assez localement. Nous remarquons que des genres comme les soaps premiums sont très consommés par nos abonnés français, nous allons essayer d'en développer aussi. Nous constatons qu'il y a une demande de la part du public français pour le feuilleton, la série et le film romanesque ou les grands drames, en costumes ou pas, et l'objectif pour nous est d'avoir la palette la plus large possible afin de combler toutes les attentes. Netflix, c'est la multitude, la somme de tous ces genres qui reflète tous les goûts à la fois.

Netflix fête cette année les 10 ans de son arrivée en France. Quel bilan en tirez-vous ?

Netflix est rentré dans les habitudes et le cœur des Français, ce n'est pas rien ! Netflix est également devenu un acteur culturel majeur en lançant plus de 100 productions locales depuis son lancement en France en 2014 ! En 2023 nous avons investi 250 millions d'euros dans la création audiovisuelle et cinématographique française. C'est un acteur qui enrichit le paysage culturel français en proposant des histoires françaises innovantes, des personnages iconiques comme Lupinou encore en renouvelant certains genres comme le télé-crochet avec Nouvelle Écoledans l'univers du rap, et en révélant de nouveaux talents.

Avez-vous le sentiment d'avoir atteint une certaine maturité créative ?

Après avoir lancé une centaine de productions françaises, on commence à avoir une idée assez précise de ce que l'on veut et de comment on veut le faire, c'est sûr ! Nous sommes très fiers des récentes nominations de Netflix aux International Emmy Awards - Laurent Lafitte nommé meilleur acteur pour Tapie et L'affaire Bettencourt : Scandale chez la femme la plus riche du mondeetTour de France : Au cœur du peloton, nommés respectivement dans la catégorie meilleur documentaire et meilleur documentaire de sport. La reconnaissance par notre public dans un premier temps, et par nos pairs dans un second temps, est un signal fort de cette maturité. Que peut-on souhaiter à Netflix pour les dix prochaines années ?

Être la destination de divertissement préférée des Français. Nos abonnés doivent pouvoir se dire : si je ne devais garder qu'une offre de divertissement, ce serait Netflix. Et pour cela, il faut qu'on puisse avoir l'offre la plus large, la plus riche et la plus qualitative possible en termes de récits, d'histoires, de talents, d'innovation, d'exécution, de valeur de production. Nous ne sommes évidemment pas dans une politique de volume mais de diversité et de qualité. D'ici 2026, notre objectif est de déployer au moins 24 productions locales par an, soit deux histoires françaises par mois, contre moins d'une vingtaine aujourd'hui. L'âge d'or du divertissement est devant nous ! Pour la troisième année consécutive, on retrouve Netflix au Festival de la Fiction de la Rochelle. Que retenir de votre présence lors de cette édition ?

Nous y avons annoncé des projets comme Bandi, notre première série d'outre-mer par Eric Rochant ou encore le renouvellement de Furies pour une saison 2, mais le plus important pour nous est de prendre le pouls du marché et de ne pas rater le rendez-vous avec les producteurs qui va donner le la des projets à venir. Le panel Netflix est devenu un rendez-vous attendu de la programmation de La Rochelle. En tant qu'acteur culturel, les gens viennent nous rencontrer et ont envie d'entendre ce que nous avons à leur dire. C'est l'occasion pour nous de présenter l'équipe créative, de rencontrer la filière, et d'expliquer aux producteurs et talents comment on aimerait travailler avec eux et cette fameuse diversité que l'on recherche. Nous avons pu leur faire passer le message que nous attendions des projets nouveaux et que nous sommes encore et toujours prêts à prendre des risques créatifs et à innover. Je suis toujours très étonnée de voir la réaction de producteurs qui me disent : « Ah mais on ne savait pas ! Ça nous ouvre des horizons ! »

Vous êtes arrivée il y a moins d'un an au sein de Netflix France en tant que vice-présidente des contenus. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre rôle et vos ambitions ?

Mon rôle est de développer une vision globale pour l'ensemble des films et séries, et documentaires produits par Netflix ainsi que pour les acquisitions. Mon objectif est de créer une complémentarité de genres au sein des programmes, afin de constituer un portefeuille aussi riche et diversifié que possible. Cette diversité est essentielle pour fidéliser nos abonnés.

Quelles seront vos priorités d'un point de vue créatif?

Je m'inscris dans une stratégie d'évolution et, surtout, d'expansion, visant à offrir une diversité encore plus grande en termes de genres. Cette variété est primordiale car en moyenne, un abonné consomme six genres différents par mois. Avec le succès de films comme Aka ou Balle Perdue, on a pu mesurer l'impact de l'action en France, donc on va continuer à en produire. Les Thrillers font également partie de nos genres privilégiés. Sans oublier la comédie: nous lançons le 23 octobre le film Loups-Garous.La romance, le mélo, des séries comme One Day, fonctionnent très bien en France mais nous n'en produisons peut-être pas assez localement. Nous remarquons que des genres comme les soaps premiums sont très consommés par nos abonnés français, nous allons essayer d'en développer aussi. Nous constatons qu'il y a une demande de la part du public français pour le feuilleton, la série et le film romanesque, le mélo ou les grands drames, en costumes ou pas, et l'objectif pour nous est d'avoir la palette la plus large possible afin de combler toutes les attentes. Netflix, c'est la multitude, la somme de tous ces genres qui reflète tous les goûts à la fois.

Netflix fête cette année les 10 ans de son arrivée en France. Quel bilan en tirez-vous ?

Netflix est rentré dans les habitudes et le cœur des Français, ce n'est pas rien ! Netflix est également devenu un acteur culturel majeur en lançant plus de 100 productions locales depuis son lancement en France en 2014 ! En 2023 nous avons investi 250 millions d'euros dans la création audiovisuelle et cinématographique française. C'est un acteur qui enrichit le paysage culturel français en proposant des histoires françaises innovantes, des personnages iconiques comme Lupinou encore en renouvelant certains genres comme le télé-crochet avec Nouvelle Écoledans l'univers du rap, et en révélant de nouveaux talents.

Avez-vous le sentiment d'avoir atteint une certaine maturité créative ?

Après avoir lancé une centaine de productions françaises, on commence à avoir une idée assez précise de ce que l'on veut, ou ne pas, faire, et de comment on veut le faire, c'est sûr ! Nous sommes très fiers des récentes nominations de Netflix aux International Emmy Awards - Laurent Lafitte nommé meilleur acteur pour Tapie et L'affaire Bettencourt : Scandale chez la femme la plus riche du mondeetTour de France : Au cœur du peloton, nommés respectivement dans la catégorie meilleur documentaire et meilleur documentaire de sport. La reconnaissance par notre public dans un premier temps, et par nos pairs dans un second temps, est un signal fort de cette maturité.

Que peut-on souhaiter à Netflix pour les dix prochaines années ?

Être la destination de divertissement préférée des Français. Nos abonnés doivent pouvoir se dire : si je ne devais garder qu'une offre de divertissement, ce serait Netflix. Et pour cela, il faut qu'on puisse avoir l'offre la plus large, la plus riche et la plus qualitative possible en termes de récits, d'histoires, de talents, d'innovation, d'exécution, de valeur de production. Nous ne sommes évidemment pas dans une politique de volume mais de diversité et de qualité. D'ici 2026, notre objectif est de déployer au moins vingt-quatre productions locales par an, soit deux histoires françaises par mois, contre moins d'une vingtaine aujourd'hui. L'âge d'or du divertissement est devant nous !

Pour la troisième année consécutive, on retrouve Netflix au Festival de la Fiction de la Rochelle. Que retenir de votre présence lors de cette édition ?

Nous y avons annoncé des projets comme Bandi, notre première série d'outre-mer par Eric Rochant ou encore le renouvellement de Furies pour une saison 2, mais le plus important pour nous est de prendre le pouls du marché et de ne pas rater le rendez-vous avec les producteurs qui va donner le la des projets à venir. Le panel Netflix est devenu un rendez-vous attendu de la programmation de La Rochelle. En tant qu'acteur culturel, les gens viennent nous rencontrer et ont envie d'entendre ce que nous avons à leur dire. C'est l'occasion pour nous de présenter l'équipe créative, de rencontrer la filière, et d'expliquer aux producteurs et talents comment on aimerait travailler avec eux et cette fameuse diversité que l'on recherche. Nous avons pu leur faire passer le message que nous attendions des projets nouveaux et que nous sommes encore et toujours prêts à prendre des risques créatifs et à innover. Je suis toujours très étonnée de voir la réaction de producteurs qui me disent : « Ah mais on ne savait pas ! Ça nous ouvre des horizons ! »